EAUX DORMANTES EAUX COURANTES (moments prévus aux lieux des eaux et quelques notes aquatiques) . De retour en l’intensité des résonances extérieures et intérieures, en mes eaux silencieuses pour y faire encore quelques vues intimes de mon cœur bleu et quelques buées blanches qui enveloppent leurs corps d’olivier de Bohême des bords. Je vous renvoie une fois de plus mon haleine sur le miroir de mon temps qui séjourne à nouveau en les îles légères des hirondelles de mer et autres bêtes à bon1
EAUX DORMANTES EAUX COURANTES
(moments prévus aux lieux des eaux et quelques notes aquatiques)
. De retour en l’intensité des résonances extérieures et intérieures, en mes eaux silencieuses pour y faire encore quelques vues intimes de mon cœur bleu et quelques buées blanches qui enveloppent leurs corps d’olivier de Bohême des bords.
Je vous renvoie une fois de plus mon haleine sur le miroir de mon temps qui séjourne à nouveau en les îles légères des hirondelles de mer et autres bêtes à bon dieu.
Faites-vous liquide donc ! dans toutes ces plumes de fêtes, dans mes sillages, dans mes rêves d’interprétations. Mes œuvres sont faites de tous ces vagues tumultes et ces clapotis que je n’ai moi-même pas encore très bien compris ! et surtout pas encore écrits en mes profondeurs.
On dira que toute cette exposition d’eau qui court une fois de plus pour me résister, toutes ces eaux portables d’aquarelles alimentaires ont été bues par le papier de mon cahier pour nourrir le plein air bleu de l’ensemble de nos yeux qui les ont toutes vues, je l’espère à la source !
- Philippe Brobeck – 29 Juillet 2017 –.( A toi le reflet jusqu’à ta dernière goutte de lumière d’eau courante et dormante j’exprimerai en un clin d’œil ton silence.) – PERTINAX OBSCURE ET SINE GLORIA EX SOLA GRATIA - FECIT 2018 -
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« Le souvenir est la condition de l’eau qui court » -René Char –
« Ainsi nul œil Ulrich n’a pénétré les ondes de tes douleurs sans borne ange du ciel tombé tu portes dans ta tête et dans ton cœur deux mondes quand le soir près de moi tu vas triste et courbé… »
- Poème à Ulrich Guttinger – Alfred de Musset –
"J’entendis enfin ma conscience et qu’un ange du ciel près de moi put s’asseoir sur trois lettres de feu qui fendirent la nue il arrêta mes yeux qui toujours lisaient: foi ..."
- Poème à Alfred de Musset – Ulrich Guttinger -